Paul Rassinier était un écrivain, politicien et ancien résistant français, né le 18 mars 1906 et décédé le 29 juillet 1967.
Rassinier était un résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, et il a été déporté dans les camps de concentration nazis, notamment à Buchenwald et à Dora. Après la guerre, il est devenu un critique virulent des Alliés et de ce qu’il percevait comme une exagération ou une manipulation des crimes nazis.
Il a publié plusieurs ouvrages dans les années 1950 et 1960 remettant en question l’ampleur de l’Holocauste, notamment “Le Mensonge d’Ulysse” (1950) et “Le Véritable Procès Eichmann ou les Vainqueurs incorrigibles” (1962). Rassinier a soutenu que les chiffres des victimes de l’Holocauste étaient exagérés et qu’il n’y avait pas eu de plan systématique d’extermination des Juifs par les nazis.
-
Paul Rassinier – Offre spéciale
- Le mensonge d’Ulysse et Ulysse trahi par les siens
- Le discours de la dernière chance & Le véritable procès Eichmann
- Le drame des juifs européens & les responsables de la 2ème guerre mondiale
- Le parlement aux mains des banques & l’équivoque révolutionnaire
-
Das drama der juden europas
& Die jahrhundert-provokation
In einer Zeit, in der die Geschichtsschreibung gefährlich politisiert worden ist und die marxistisch-leninistische Sichtweise allmählich die traditionelleren Ansichten und Werte ablöst, ist jede andersartige Betrachtung der Ereignisse in Europa aus der ersten Hälfte unseres Jahrhunderts zu begrüßen. Nicht ein einzelnes Buch kann eine wirklichkeitstreue Darstellung eines geschichtlichen Vorgangs bieten: man braucht zwei oder mehr Bücher, möglichst von sehr verschiedenen Standpunkten, so wie der Seemann weit auseinanderliegende Fixsterne und Planeten zum Navigieren benötigt.
-
Le Parlement aux mains des banques
& L’équivoque révolutionnaire
De droit divin ou de droit populaire, d’un seul ou de quelques-uns, l’exercice du Pouvoir suppose des Élus et donc une hiérarchie. Le Chef d’État, ses satrapes, ses pachas ou ses caïds, ses parlementaires ou ses conseillers sont la réplique terrestre de la pyramide des Dieux gréco-latins et de celui qui trône dans son Paradis entouré de ses anges et de ses archanges. C’est à l’intention des non-prédestinés et des anges déchus que les Tables de la Loi ont été données à Moïse sur le Mont Sinaï et à sa postérité sur l’Agora, le Forum, dans l’Église Saint-Pierre de Rome, la Cathédrale de Reims et les Parlements. Les guerres et les révolutions ne sont, à leur tour, que la réplique ou le pendant de la foudre et des éclairs du Mont Sinaï.
-
Le mensonge d’Ulysse
& Ulysse trahi par les siens
Les deux parties de cet ouvrage ont déjà été publiées, mais séparément, — la première, ou l’expérience vécue (Passage de la Ligne), en 1949, — la seconde, ou l’expérience des autres (Le Mensonge d’Ulysse, proprement dit), en 1950, dans la forme d’une étude critique de la littérature concentrationnaire : j’avais pensé que, sur un sujet aussi délicat, il convenait d’administrer la vérité à petites doses.
-
Le drame des Juifs européens
& Les responsables de la Deuxième Guerre mondiale
L’auteur de cet ouvrage a été un résistant de la première heure. Avec Georges Bidault et deux autres grands honnêtes hommes, le regretté Henri Ribière qui fut Secrétaire de l’Office national des Anciens Combattants et l’humble, mais courageux et trop oublié commandant Lierre, il fut un des fondateurs du Mouvement Libération-Nord. À ce titre, il fut arrêté par la Gestapo en 1943, déporté dans les camps de concentration allemands où il passa dix-neuf mois. Il en est revenu invalide de guerre à 100% plus cinq degrés, dans l’impossibilité de reprendre son poste dans l’enseignement.
-
Le discours de la dernière chance
& Le véritable procès Eichmann
La première évidence qui surgira de ces travaux, c’est que la Civilisation, une dans sa conception, est cependant multiple et très diverse dans ses formes simultanées ou successives et que chacune d’entre elles, peut-être dans un instinctif et secret espoir de renaître ailleurs et à son gré, se résigne à mourir à l’endroit où elle est née, par refus de se transformer, c’est-à-dire de se plier aux exigences conjuguées de la nature et du progrès.