Ce n’est plus seulement, comme autrefois, la corruption des mœurs qui la menace ; c’est l’ébranlement même des principes sur lesquels elle repose : Dieu, l’indissolubilité du mariage, l’autorité paternelle. Plus que jamais il appartient à la femme d’être à son foyer la gardienne vigilante de ces principes.
Elle ne remplit pas seulement ainsi ses devoirs d’épouse et de mère, elle remplit une mission patriotique. Au milieu des ruines qui nous entourent, elle protège contre l’effondrement général, la seule pierre qui soit restée debout : la pierre du foyer. C’est sur cette pierre seulement que pourra se reconstituer la société française.