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The Origin, with a capital O, is the Origin of each and every one of us, of everything and everyone: of heaven and earth, of their containers and their contents! Whether we are believers or atheists, our thoughts have, at least once, turned to this common and unique Origin and its Creator, whether it is called God or simply ‘chance’, as could be decreed by someone who has lived only one part of their life without touching the other.
And who would be better qualified to talk about this Origin than those who lived it and told their descendants about it, engraving it in stone for eternity? … To return to this Origin, it is therefore necessary to go back through the analytical chronology of the sunken continent. However, they all agree on a single glorification: that of Ptah, or God. And they all end in the form of a warning sign, in an attempt to prevent future generations from renewing a great cataclysm.
| Categories: | Albert Slosman - ENG, All Books, Books in English, History |
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| Tags: | Egypt, history |
| Author | |
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| Product details | Publisher : Omnia Veritas Ltd (5 Feb. 2025) |
At the beginning of time, when man was intelligent enough to observe the movements of the points of light in the sky, he paid close attention to what was happening up there. Reflection came to him and he meditated on various accurate influences, such as the Sun during the day, and the Moon at night, which regularly changed shape. He soon became convinced that the other points of light, although infinitely smaller, were similar cases. This took thousands of years, of course, which we must admit from the outset in order to better understand the mechanism.
The Great Cataclysm is the story of the Ancestors of the first Pêr-Ahâ (which became Pharaoh in Greek phonetics) hieroglyphs meaning ‘Descendants of the Elder’. Ahâ could be translated phonetically as ‘Adam’, and in fact, the Chronological Annals engraved on the walls of the first temples of Upper Egypt, or painted on the leather scrolls in the various archive rooms of the ‘Houses-of-Life’, recount the life of a people starting from this ‘Elder’: the Ahâ.
When the survivors of Ahâ-Men-Ptah, the Platonic Atlantis, disembarked on the coast of present-day Morocco, devastated by the sinking of their first homeland, they had no idea that it would be four thousand years later before their younger siblings would finally arrive in the ‘Second Heart-of-God’, Ath-Kâ-Ptah (Ae-guy-ptos in Greek, Egypte in French) that was destined for them.
After the ‘Great Cataclysm’ that submerged Ahâ-Men-Ptah, ‘God’s Eldest Earth’, swallowing up millions of human creatures with it, nothing remained except a legendary myth, brought back from Egypt by Solon, then taken up by Plato in the ‘Timaeus’ under the generic name of Atlantis.
Quel rapport peut-il y avoir entre la Grande Pyramide d’Egypte et notre raison d’être ? Serait-il possible que des bâtisseurs d’éternité aient voulu nous révéler une connaissance primordiale grâce à l’usage des nombres et de la géométrie sacrée ?
Molte persone interessate nella questione ebraica sono solite chiedere se ci sia o no qualcosa nel Talmud che non sia bello e sublime e completamente estraneo a qualsiasi espressione che possa sembrare odio verso i cristiani.
Though he was a prolific author, Professor Sutton will always be remembered by his great trilogy: Wall St. and the Bolshevik Revolution, Wall St. and the Rise of Hitler, and Wall St. and FDR. This is a trilogy describing the role of the American corporate socialists, otherwise known as the Wall Street financial elite or the Eastern Liberal Establishment, in three significant twentieth-century historical events: the 1917 Lenin-Trotsky Revolution in Russia, the 1933 election of Franklin D. Roosevelt in the United States, and the 1933 seizure of power by Adolf Hitler in Germany.
Quel est le peuple, quelle est la nation qui devrait être la première du monde par ses vertus, par son passé, par ses exploits, par ses croyances ? Quel est le peuple, quel est le seul peuple dont l’histoire nationale soit en même temps l’histoire religieuse, et celle-ci, celle de tous les peuples de la chrétienté avant la descente du Fils de Dieu parmi nous ! Ce peuple devrait être, n’est-ce pas, par définition déjà, l’exemple et l’instituteur de tous les peuples chrétiens ? Qu’en est-il ? comment se fait-il qu’il n’en soit point ainsi ? Que s’est-il passé pour ce qui devrait être ne soit pas ?
De droit divin ou de droit populaire, d’un seul ou de quelques-uns, l’exercice du Pouvoir suppose des Élus et donc une hiérarchie. Le Chef d’État, ses satrapes, ses pachas ou ses caïds, ses parlementaires ou ses conseillers sont la réplique terrestre de la pyramide des Dieux gréco-latins et de celui qui trône dans son Paradis entouré de ses anges et de ses archanges. C’est à l’intention des non-prédestinés et des anges déchus que les Tables de la Loi ont été données à Moïse sur le Mont Sinaï et à sa postérité sur l’Agora, le Forum, dans l’Église Saint-Pierre de Rome, la Cathédrale de Reims et les Parlements. Les guerres et les révolutions ne sont, à leur tour, que la réplique ou le pendant de la foudre et des éclairs du Mont Sinaï.
La forme constitutionnelle qui a pris le relais du féodalisme et de l’absolutisme a été démocratique ; sa forme de domination : ploutocratique. Aujourd’hui la démocratie est une façade de la ploutocratie : comme les peuples ne toléreraient pas la ploutocratie nue, il leur est laissé le pouvoir nominal, tandis que le pouvoir effectif repose dans les mains des ploutocrates. Dans les démocraties républicaines comme monarchiques, les hommes d’État sont des marionnettes, les capitalistes des tireurs de ficelles : ils dictent les lignes directrices de la politique, ils dominent les électeurs par le biais de l’achat de l’opinion publique, les ministres par le biais des relations commerciales et sociétales.
Les faits sont les faits : sur les 22 avocats de la Commission Warren, neuf étaient juifs. Un autre était marié à une femme juive. Plusieurs autres avaient des liens avec le lobby israélien. Qui plus est, l’un des membres les plus actifs de la commission, Gerald R. Ford – était le protecteur d’une figure longtemps liée au Mossad et au Syndicat du crime de Lansky. Un autre membre de la commission, John McCloy, était intimement associé à certaines des familles les plus puissantes de l’élite juive. Si la Commission Warren avait été sincère dans son enquête sur la conspiration de JFK – et si elle avait découvert une connexion israélienne -, l’immense “présence juive” au sein de la commission aurait pu fournir les moyens de dissimuler la connexion israélienne.
He tomado como tema de esta exposición la metafísica oriental; quizás habría valido más decir simplemente la metafísica sin epíteto, ya que, en verdad, la metafísica pura, al estar por esencia fuera y más allá de todas las formas y de todas las contingencias, no es ni oriental ni occidental, es universal. Son sólo las formas exteriores de las que es revestida por las necesidades de una exposición, para expresar lo que es expresable de ella, son estas formas las que pueden ser ya sea orientales, ya sea occidentales; pero, bajo su diversidad, es un fondo idéntico el que se encuentra por todas partes y siempre, por todas partes al menos donde hay metafísica verdadera, y eso por la simple razón de que la verdad es una.
