Or il s’agit d’une guerre de mouvement et non d’une guerre de tranchées. Tout se joue contre la montre. Ou bien le peuple encoléré parviendra à imposer ses propres objectifs pour conduire une gestion nationale, ou bien il échoue, rentre dans ses foyers et remâche sa déconvenue. Retour à la case départ, avec au mieux un léger saupoudrage de réformettes très vite effacées par la modernisation du pays, c’est-à-dire sa “liquidation” via une implacable intégration dans le Marché Unique Planétaire… ce que la crise pandémique de 2020 a bien mis en évidence.