La proclamation de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen accompagnée d’un préambule sous l’égide de l’Être suprême, signée le 26 août 1789, n’est que la conséquence d’une évolution des mentalités étalées sur des générations.
Un tel engagement de la synagogue talmudique, depuis 1808, envers les principes de la Révolution indique que celle-ci doit y trouver son compte. Ne pourrait-on pas affirmer que cette Révolution dite française fut, d’abord et avant tout, d’essence talmudo-kabbalistique ? En effet, les propos de l’évêque Saint Rémi instaurent un modèle politico-religieux faisant du premier roi de France, Clovis, le lieutenant du Christ ; c’est-à-dire aux yeux de la synagogue rebelle un Messie qu’elle ne reconnaît pas, qu’elle rejette et qui doit être anéanti car, pour elle, « ce » Jésus de Nazareth n’est qu’un usurpateur. La France est donc dans le collimateur de la nouvelle synagogue plus que tout autre pays en raison de cet honneur octroyé à la maison royale de Clovis et à ses successeurs. Ce point décisif est à retenir absolument.
La France est à part et son sort est lié à l’Église. Indirectement, cela signifie que, dès le début, notre pays a subi des attaques brutales ou, plus subtilement aussi, des infiltrations pour affaiblir et, en bout de course, effacer cette marque ainsi que la mission d’apostolat résultant du baptême de Clovis.