Les trois volumes de la Trilogie des Origines, par Albert Slosman.
Un texte, depuis deux mille ans, a fait couler beaucoup d’encre, et il continue d’ailleurs, ne serait-ce que par cet ouvrage qui, pour commencer, le cite : il s’agit du fameux « Timée », de Platon, dont les autres récits, philosophiques sont aussi internationalement connus. Mais dans le « Timée », l’auteur s’est inspiré du poème, en vers, du Sage Solon, ce qu’il reconnaît bien volontiers.
Des centaines de livres plus ou moins discutables et discutés ont paru, sans parler du très beau roman de Pierre Benoit qui, à lui seul, suscita la vocation de tant de chercheurs… et de rêveurs ! L’Atlantide, pour garder provisoirement ce nom platonicien, a été situé pratiquement dans toutes les parties du monde ! Nous n’aborderons pas ici le côté humoristique, afin de consacrer un maximum de chapitres à l’Histoire du Continent disparu lui-même, et sous son vrai nom, tel que nous l’ont appris les textes hiéroglyphiques antiques, dans leurs sous-titres anaglyphiques, c’està-dire : dans leur deuxième sens Sacré, soit Aha-MenPtah, qui veut dire : Cœur-Aîné-de-Dieu.
Ce fut pourquoi les rescapés du Grand Cataclysme qui submergea le pays, l’appelèrent en débarquant en terre africaine : Amenta, Royaume-des-Morts.
Ce fut pourquoi les rescapés, en arrivant à Ta Merit, Lieu-Aimé, ne purent le baptiser, par l’entremise de leur premier roi : Ménès, qu’Ath-Ka-Ptah, qui veut dire : Deuxième-Âme-de-Dieu, et qui devint phonétiquement par une grâce que seuls les Grecs comprennent : Ae-Guy-Ptos, ou en français : Égypte…