Ainsi, pour ne pas vous tenir plus longtemps dans l’incertitude, c’est l’éloge des tétons que je vais faire. Le sujet est beau, il est grand, il a exercé les génies les plus élevés. Le cavalier Marin appelle les tétons des belles, deux tours vivantes d’albâtre, d’où l’amour blesse les amants : il les compare à deux écueils, contre lesquels notre liberté vient faire agréablement naufrage : il les appelle deux mondes de beautés, éclairés par deux beaux soleils, c’est-à-dire les yeux.