Il va de soi, en effet, que des considérations de cet ordre ne valent pour nous qu’en tant qu’elles représentent une application des principes à certaines circonstances particulières ; et, remarquons-le en passant, si ceux qui ont jugé le plus justement les erreurs et les insuffisances propres à la mentalité de notre époque s’en sont tenus généralement à une attitude toute négative ou n’en sont sortis que pour proposer des remèdes à peu près insignifiants et bien incapables d’enrayer le désordre croissant dans tous les domaines, c’est parce que la connaissance des véritables principes leur faisait défaut tout autant qu’à ceux qui s’obstinaient au contraire à admirer le prétendu « progrès » et à s’illusionner sur son aboutissement fatal.