La vérité est que les extrémistes musulmans se sont révélés des outils utiles (bien que souvent involontaires) pour faire avancer l’agenda géopolitique d’Israël. Bien que les médias aient consacré une grande partie de leur couverture au thème du “fondamentalisme islamique”, ils n’ont pas poursuivi les liens documentés qui existent en coulisses entre Israël et les réseaux terroristes qui font aujourd’hui l’objet d’une obsession de la part des médias.
En fait, des preuves suggèrent que le méchant musulman numéro un dans le monde – Oussama ben Laden – travaillait presque certainement avec le Mossad dans le passé. Si l’on considère que le Mossad est probablement l’agence de renseignement la plus impitoyable et la plus efficace au monde, il est curieux qu’il n’ait jamais été examiné de près dans le cadre de l’assassinat de Kennedy, d’autant plus que pratiquement toutes les autres entités au monde (à l’exception des imitateurs d’Elvis) ont été impliquées. Leur motif ? Le Premier ministre israélien David Ben-Gourion, qui a dirigé le pays depuis sa création en 1948 jusqu’à sa démission le 16 juin 1963, était tellement furieux contre John F. Kennedy qui n’avait pas permis à Israël de devenir une puissance nucléaire que dans les derniers jours de son mandat, il a ordonné au Mossad de participer à un complot visant à tuer le président des États-Unis.