Les convulsions de cet éternel conflit emplissent une partie de l’Antiquité et tout le Moyen-Âge. Dans les temps modernes, si la lutte entre l’élément juif et les éléments chrétiens et musulmans revêt un caractère d’acuité moindre, c’est qu’Israël a eu l’habileté de cacher son agression, jadis presque toujours directe, sous mille masques habilement fabriqués. Mais qu’on soulève au hasard l’un de ces masques, et, sous le péril qui menace chaque peuple dans sa sécurité nationale, dans sa prospérité matérielle, dans sa liberté religieuse ou dans sa paix sociale, presque toujours on trouvera le Juif.
C’est le Juif, en effet, qui a modifié les conditions d’existence économique des nations, en créant un système financier qui lui permet d’accumuler, à plaisir, les ruines publiques ou privées. C’est le Juif qui a déchaîné, en dix pays, la persécution antichrétienne, pour assouvir la haine séculaire de sa race contre les serviteurs du Christ.