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100% Monnaie
Et si notre système monétaire n’avait jamais été mûrement réfléchi ?
C’est peut-être en partant de cette question toute simple qu’il faudrait étudier le problème monétaire. L’opinion d’Irving Fisher en 1935, lors de l’écriture de 100% Money 6 ans après le début de la grande dépression, est claire : il n’a jamais été mûrement réfléchi par un quelconque décideur.
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Histoire des Banques Centrales et de l’asservissement de l’humanité
Pour que toute nation/état/société/communauté conserve la pleine souveraineté de son indépendance dans le traitement de ses affaires, le contrôle absolu des moyens qu’elle emploie pour échanger les biens et les services doit résider au sein des organes qui représentent le peuple, et ne doit jamais être délégué à des individus ou à des groupes d’intérêts privés.
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La scuola dei cadaveri
I Democratici non sono altro che i domini del Frastuono giudeo, del prodigioso tambureggiamento stratosferico e del gigantesco accompagnamento del nostro apparato di tortura e servitù. Assolutamente irresistibile. Chi sono i padroni di questo trambusto? Le banche ebree, le congiure dei Rabbini (con o senza eroina), l’Intelligence Service (grande produttore di guerre e rivoluzioni), l’Inghilterra giudeocratica, la City, tutto per i Giudei.
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Bagatelle per un massacro
Per molto tempo ho cercato di spiegarmi perché Bagatelles pour un massacre fosse l’unico libro veramente infernale prodotto dalla letteratura francese dopo Choderlos de Laclos. Ogni metodo usato per situare o circoscrivere questo disumano atto d’accusa e di autoaccusa rischia di apparire funesto o ridicolo: ridicole le motivazioni patologiche (« un momento di follia ») e quelle estetiche (« L’antisemitismo è solo una metafora dell’odio per il mondo »); funeste quelle psicologistiche (« Céline vuole fare scandalo perché in una fase di impotenza creativa ») e quelle enigmatiche (« Bagatelles è un pamphiet antisemita ma noi non sappiamo cosa siano gli ebrei per Céline »).
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Les Mondialistes & les Islamistes
Provoquer le “choc des civilisations” pour un Nouvel Ordre Mondial
L’étude suivante survole l’histoire de cette région du monde où l’Amérique s’est empêtrée et qui dans une certaine mesure est encore presque entièrement contrôlée par la Grande-Bretagne. Cette actuelle « guerre contre le terrorisme » est-elle véritablement une guerre pour apporter la liberté à la région et promouvoir les idéaux traditionnels américains, ou bien n’est-elle qu’une démonstration de pouvoir pour consolider l’hégémonie mondiale américaine ? Et qu’est-ce que la Grande-Bretagne a à y gagner?
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The Globalists and the Islamists
Fomenting the “clash of civilizations” for a New World Order
The following study will take a look at the history of the region that America has become entangled in, a region that used to be, and to some degree still is, almost entirely controlled by Britain. Is this current “War On Terror” truly a war to bring freedom to the region and to promote traditional American ideals, or is it a power-play to solidify global American hegemony? And what does Britain have to gain?
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Hitler en Argentine
Dans cet ouvrage, nous examinons ce qui est probablement le plus grand mystère du 20ème siècle… Adolf Hitler s’est-il suicidé alors qu’il était retranché dans son bunker, ou pas ?
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L’Angleterre et l’Empire Britannique
Aux premières pages, nous sommes au printemps de 1914, à la veille de la Grande Guerre. Jacques Bainville scrutant l’horizon, y voit poindre la grande collision. Dès ces premières pages, en effet, on remarque les impatiences, l’irritation même de Bainville devant les hésitations, la longanimité des Partenaires « libéraux », trop « libéraux », de l’Entente cordiale. Pour lui, l’Angleterre et la France sont, de moins en moins, des États dignes de ce nom. Étaient-elles, après tout, autre chose que « deux vastes bureaucraties alourdies sans relâche par la manie légiférante de deux assemblées jumelles » ?
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Islam in the Shadows of the New World Order
My study of Islam is joined to a quest for truth that has been my companion from an early age. Even then it caused me to bite the many hands that fed me, hence, certain persons mentioned herein are subject to this beleaguering habit for which I apologize but without regret.
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La Controverse de Sion
40,00 € – 50,00 €Add to cart This product has multiple variants. The options may be chosen on the product pageLa Controverse de Sion
Pour rédiger cet ouvrage commencé en 1951, Douglas Reed passa plus de trois ans – pour la plupart loin de sa femme et de ses jeunes enfants – à travailler à la Bibliothèque centrale de New York, ou à taper sur sa machine à écrire dans des logements spartiates à New York ou à Montréal. Avec un zèle de professionnel, le livre fut réécrit et l’épilogue seulement ajouté en 1956. Son but était de relater l’Histoire des deux derniers millénaires et plus encore de rendre intelligible une grande partie de l’Histoire moderne, qui de nos jours reste pour les masses plongée dans les ténèbres et étroitement gardée par la terreur d’un système de censure invisible.
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The Controversy of Zion
It is one of the commonplaces of history that adverse circumstances offer no obstacle to men of outstanding energy and ability. Douglas Reed, who described himself as “relatively unschooled”, started out in life as an office boy at the age of thirteen and he was a bank clerk at nineteen before enlisting at the outbreak of World War I. A less promising preparation for a man destined to be one of the most brilliant political analysts and descriptive writers of the century could hardly be imagined. He was already 26 years old when he reached the London Times in 1921 as a telephonist and clerk; and he was 30 when he finally reached journalism as sub-editor.
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Histoire de France
Est-il vrai qu’il faille enseigner l’histoire aux enfants sans qu’ils la comprennent et de façon à meubler leur mémoire de quelques dates et de quelques événements? C’est extrêmement douteux.
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Napoléon
L’homme extraordinaire savait, non seulement ce que son destin avait eu de prodigieux, mais le concours d’événements qu’il avait fallu pour l’élever à l’Empire et le rendre neveu du roi dont, lieutenant obscur, il avait vu la chute à la journée du 10 août. “Quel roman, pourtant, que ma vie!” s’écriait-il au moment de l’épilogue. Une autre fois, à Sainte-Hélène, il disait qu’il s’écoulerait mille ans avant que les circonstances qui s’étaient accumulées sur sa tête vinssent en chercher un autre dans la foule pour le porter aussi haut.