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Les révélations exposées dans cet ouvrage sont susceptibles de bouleverser le futur de notre civilisation. Elles ont le mérite de remettre en question beaucoup de pseudo vérités communément enseignées. Ces découvertes ont demandé des dizaines d’années de recherches dans des domaines tels que l’égyptologie, l’astronomie ou la science de la synchronicité.
Ce ne sont pas des suppositions laissant portes ouvertes aux critiques les plus élémentaires, ce sont des preuves et des théories mathématiques irrécusables. Nous sommes appelés à prendre conscience au cours de ces pages d’un univers parallèle au nôtre, lequel inciterait à l’implicite présence d’un Principe Créateur. S’informer de ces découvertes, c’est pénétrer un monde inconnu autant mystérieux que prometteur.
| Categories: | All Books, Georges Vermard, Histoire, Livres en Français |
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| Tags: | Égypte, Georges Vermard, tradition primordiale |
| Détails sur le produit | Broché: 444 pages |
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Ce troisième tome est le juste prolongement des deux premiers, il amplifie, croyons-nous, le domaine des preuves que nous nous devons de formuler pour exhorter notre lecteur à méditer sur les vertus de l’enseignement officialisé.
Interpellé par les temps tumultueux que nous vivons, l’hermétiste Georges Vermard a été rechercher dans l’Oméga, la place oubliée de l’Alpha. Il nous fait ressurgir la richesse des valeurs ésotériques des temps passés :
Quel rapport peut-il y avoir entre la Grande Pyramide d’Egypte et notre raison d’être ? Serait-il possible que des bâtisseurs d’éternité aient voulu nous révéler une connaissance primordiale grâce à l’usage des nombres et de la géométrie sacrée ?
L’intelligence veut, que lorsque nous nous trouvons devant une énigme il est logique d’envisager le problème en prenant en compte la totalité des options présentes. Ne pas en tirer raison est une sottise à moins qu’il ne s’agisse d’un choix profitable ce qui est une menterie. Notre rôle n’est pas de chercher à résoudre la complexité d’une situation dont l’historicité aurait la teneur des grands complots universels, nous aurions au contraire la convenance, si ce n’est le dédain de ne pas l’alléguer.
La civilización moderna aparece en la historia como una verdadera anomalía: de todas las que conocemos, es la única que se haya desarrollado en un sentido puramente material, la única también que no se apoye en ningún principio de orden superior. Este desarrollo material, que continúa desde hace ya varios siglos y que va acelerándose de más en más, ha sido acompañado de una regresión intelectual, que ese desarrollo es harto incapaz de compensar.
Aunque el presente estudio pueda parecer, a primera vista al menos, no tener mas que un carácter un poco «especial», nos ha parecido útil emprenderle para precisar y explicar más completamente algunas nociones a las que nos ha sucedido hacer llamada en las diversas ocasiones en las que nos hemos servido del simbolismo matemático, y esta razón bastaría en suma para justificarle sin que haya lugar a insistir más en ello.
Es por lo demás evidente que no se encuentra ninguna prescripción en el Evangelio que pueda ser considerada de carácter verdaderamente legal en el sentido propio del término; la frase bien conocida: «Dad al César lo que es del César» nos parece particularmente significativa a este respecto, pues implica formalmente, para todo lo que es de orden exterior, la aceptación de una legislación completamente extraña a la tradición cristiana, y que es simplemente la que existía de hecho en el medio donde ésta tuvo su nacimiento, dado que por entonces estaba incorporada al Imperio romano.
Los occidentales modernos tienen el hábito de concebir el compuesto humano bajo una forma tan simplificada y tan reducida como es posible, puesto que no le hacen consistir más que en dos elementos, de los cuales uno es el cuerpo, y al otro se le llama indiferentemente alma o espíritu; decimos los occidentales modernos, porque, ciertamente, esa teoría dualista no se ha implantado definitivamente sino después de Descartes.
Bagatelles pour un massacre – 1937
L’école des cadavres – 1938
Les beaux draps – 1941
Cent quatre-vingts millions d’albums de Tintin circulent à travers le monde. Ils sont publiés en plus de quarante-cinq langues. Que ce soit à New York ou à Tokyo, des milliards de téléspectateurs se régalent en assistant aux émissions des séries inspirées par les chefs d’œuvre Tintinesques. Ces records triomphaux, toujours croissants, ne se discutent même plus.
Quel est le peuple, quelle est la nation qui devrait être la première du monde par ses vertus, par son passé, par ses exploits, par ses croyances ? Quel est le peuple, quel est le seul peuple dont l’histoire nationale soit en même temps l’histoire religieuse, et celle-ci, celle de tous les peuples de la chrétienté avant la descente du Fils de Dieu parmi nous ! Ce peuple devrait être, n’est-ce pas, par définition déjà, l’exemple et l’instituteur de tous les peuples chrétiens ? Qu’en est-il ? comment se fait-il qu’il n’en soit point ainsi ? Que s’est-il passé pour ce qui devrait être ne soit pas ?
Ce livre affirme que le Mossad d’Israël a été un acteur principal aux côtés de la CIA et du syndicat de crime de Lansky dans la conspiration d’assassinat de JFK et qu’en fait, le rôle du Mossad a probablement été le moteur derrière la conspiration. C’est clairement Israël et son Mossad – comme nous le démontrerons – qui est la seule force qui lie ensemble tous les présumés conspirateurs les plus fréquemment mentionnés : la CIA, les forces cubaines anti-castristes, le crime organisé et, plus spécifiquement – plus significativement que la soi-disant mafia – le syndicat du crime de Meyer Lansky. Ces connexions sont beaucoup plus sombres et vont beaucoup plus loin que la plupart des gens pourraient imaginer. Dans Jugement Final nous examinerons tout ceci en détail.
