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Les Conquérants du Monde
Cet ouvrage exprime une partie de l’amertume et du mépris des Européens asservis à l’égard des dirigeants des “nations victorieuses”. Il montre qu’en étant incitées à se débarrasser du joug allemand, les nations d’Europe centrale ont été piégées et sont devenues des satellites de l’Union soviétique.
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Paul Rassinier – Offre spéciale
- Le mensonge d’Ulysse et Ulysse trahi par les siens
- Le discours de la dernière chance & Le véritable procès Eichmann
- Le drame des juifs européens & les responsables de la 2ème guerre mondiale
- Le parlement aux mains des banques & l’équivoque révolutionnaire
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Écrits de guerre
Les Français ne changent jamais d’idées. Ils sont immuables, ils disparaîtront tels quels. Ils sont noués. Ils n’ont plus l’âge ni le goût des variations. Ils préfèreront mourir que de réfléchir, ils préfèreront la mort à l’abandon d’un préjugé. Propagande ? Explications ? Démonstrations ? Baratin ? Zéro ! Le pli est pris. La pièce est jouée. Argent, temps perdus.
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L’ordre SS
Éthique & Idéologie
Lorsqu’on examine d’un œil critique le déroulement et la conclusion de la guerre en 1945, on constate l’aboutissement d’un long processus commencé avec l’apparition des religions bibliques, à savoir que la morale et la notion de péché ont remplacé le sens de l’honneur et la politique. L’adversaire digne de respect s’est mué en un ennemi absolu porteur de tous les vices s’opposant à la « civilisation » et devant être à tout prix converti ou éliminé.
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Écrits révisionnistes I – 1974-1983
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affirmer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des « négateurs » ou des « négationnistes » ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
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Écrits révisionnistes II – 1984-1989
Depuis quelques mois il se manifeste dans les journaux, à la radio et à la télévision une véritable fièvre d’antinazisme. On croirait que les nazis sont de retour. Je suppose que le grand public assiste à ce phénomène avec une perplexité croissante. Peut-être pense-t-il que cette fièvre est due à l’approche du quarantième anniversaire du 8 mai 1945, date de la capitulation sans condition du IIIe Reich.
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Écrits révisionnistes III – 1990-1992
Ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Faurisson » a commencé le 16 novembre 1978 avec la parution d’un article dans Le Matin de Paris. Je savais depuis plusieurs années que, le jour où la presse rendrait publiques mes opinions révisionnistes, j’affronterais une tempête. Par sa nature même, le révisionnisme ne peut que troubler l’ordre public ; là où règnent les certitudes tranquilles, l’esprit de libre examen est un intrus et il fait scandale. La première tâche des tribunaux est moins de défendre la justice que de préserver l’ordre public. La vérité, au sens où j’entends ce mot (c’est-à-dire : ce qui est vérifiable), n’intéresse les magistrats que si elle ne provoque pas un trouble profond de l’ordre public.
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Écrits révisionnistes IV – 1993 -1998
La question de l’existence ou de la non-existence des chambres à gaz nazies est d’une considérable importance historique. Si elles ont existé, ces chambres à gaz nous apportent la preuve que les Allemands ont entrepris l’extermination physique des juifs ; en revanche, si elles n’ont pas existé, nous n’avons plus aucune preuve de cette entreprise d’extermination. Pierre Vidal-Naquet ne s’y est pas trompé. Aux personnes tentées de renoncer à l’argument des chambres à gaz il a répliqué qu’abandonner les chambres à gaz, « c’est là capituler en rase campagne ». On ne peut que lui donner raison. Les chambres à gaz ne sont pas un point de détail de l’histoire de la seconde guerre mondiale. D’où les sanctions judiciaires qui, en France par exemple, s’abattent sur ceux qui en contestent l’existence.
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Le mensonge d’Ulysse
& Ulysse trahi par les siens
Les deux parties de cet ouvrage ont déjà été publiées, mais séparément, — la première, ou l’expérience vécue (Passage de la Ligne), en 1949, — la seconde, ou l’expérience des autres (Le Mensonge d’Ulysse, proprement dit), en 1950, dans la forme d’une étude critique de la littérature concentrationnaire : j’avais pensé que, sur un sujet aussi délicat, il convenait d’administrer la vérité à petites doses.
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Le drame des Juifs européens
& Les responsables de la Deuxième Guerre mondiale
L’auteur de cet ouvrage a été un résistant de la première heure. Avec Georges Bidault et deux autres grands honnêtes hommes, le regretté Henri Ribière qui fut Secrétaire de l’Office national des Anciens Combattants et l’humble, mais courageux et trop oublié commandant Lierre, il fut un des fondateurs du Mouvement Libération-Nord. À ce titre, il fut arrêté par la Gestapo en 1943, déporté dans les camps de concentration allemands où il passa dix-neuf mois. Il en est revenu invalide de guerre à 100% plus cinq degrés, dans l’impossibilité de reprendre son poste dans l’enseignement.
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Le discours de la dernière chance
& Le véritable procès Eichmann
La première évidence qui surgira de ces travaux, c’est que la Civilisation, une dans sa conception, est cependant multiple et très diverse dans ses formes simultanées ou successives et que chacune d’entre elles, peut-être dans un instinctif et secret espoir de renaître ailleurs et à son gré, se résigne à mourir à l’endroit où elle est née, par refus de se transformer, c’est-à-dire de se plier aux exigences conjuguées de la nature et du progrès.
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Les décombres
La France est couverte de ruines, ruines des choses, ruines des dogmes, ruines des institutions. Elles ne sont point l’œuvre d’un cataclysme unique et fortuit. Ce livre est la chronique du long glissement, des écroulements successifs qui ont accumulé ces énormes tas de décombres.
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Mon testament politique et privé
Un peuple qui veut prospérer doit rester lié à sa terre. Un homme ne doit jamais perdre contact avec le sol sur lequel il a eu le privilège de naître. Il ne doit s’en éloigner que temporairement et toujours avec l’idée d’y revenir. Les Anglais, qui furent par nécessité des colonisateurs et qui furent de grands colonisateurs, se sont généralement conformés à cette règle.
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L’âge de Caïn
Ce livre n’est pas un roman. Je ne fais qu’y conter des événements dont j’ai été le témoin, bien malgré moi. Sans rien cacher, sans rien changer, sans rien forcer. Les circonstances sont donc des circonstances réelles.
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Mon Combat – Mein Kampf
Une heureuse prédestination m’a fait naître à Braunau-am-Inn, bourgade située précisément à la frontière de ces deux États allemands dont la nouvelle fusion nous apparaît comme la tâche essentielle de notre vie, à poursuivre par tous les moyens. L’Autriche allemande doit revenir à la grande patrie allemande et ceci, non pas en vertu de quelconques raisons économiques. Non, non : même si cette fusion, économiquement parlant, est indifférente ou même nuisible, elle doit avoir lieu quand même. Le même sang appartient à un même empire. Le peuple allemand n’aura aucun droit à une activité politique coloniale tant qu’il n’aura pu réunir ses propres fils en un même État.
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Hitler en Argentine
Dans cet ouvrage, nous examinons ce qui est probablement le plus grand mystère du 20ème siècle… Adolf Hitler s’est-il suicidé alors qu’il était retranché dans son bunker, ou pas ?